L’Éducation à l’Environnement et au Développement Durable est un
enjeu essentiel de notre société car elle porte les questions
- de l’accès aux connaissances nouvelles
- de l’évolution des comportements
- de la capacité de chacun d’être acteur de la transition écologique
sur les sujets essentiels de civilisation, comme
- le changement climatique
- la reconquête de la biodiversité
- la lutte contre les pollutions
- la raréfaction des ressources
- la transition énergétique
L’EEDD doit donner des clés pour comprendre et pour agir, pour renouveler nos façons de consommer, de produire, d’habiter, de
travailler, de vivre ensemble.
En tant qu’élus écologistes, nous ne pouvons donc que nous réjouir d’un élargissement du soutien de la Région à l’ensemble des
territoires.
En effet, nous constations la présence de trop nombreuses zones sans action d’Éducation à l’Environnement et au Développement
Durable que ce soit dans des territoires ruraux mais aussi urbains, alors que de nombreux citoyens et citoyennes sont en demande.
Notre collectivité fait donc le choix de majorer son intervention sur les territoires où la population n’a pas encore accès à des actions
de sensibilisation.
Nous le savons, les associations qui interviennent dans le domaine de l’Éducation à l’Environnement sont souvent en situation financière précaire.
La Région, notamment du fait des conventions cadre pluriannuelles, envoie donc un message clair et met en place une politique efficace pour sécuriser les financements et donner les moyens à ces
associations d’essaimer ces actions en Occitanie.
La sécurisation des financements, c’est aussi permettre la sécurisation de l’emploi dans un secteur souvent consommateur de contrat à durée déterminée et touché de plein fouet par la suppression
des emplois aidés.
Pour terminer mon intervention, je citerai Nelson Mandela qui disait : « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse
utiliser pour changer le monde ».
Nous en avons besoin !